Mi-décembre, Camilla a eu son troisième enfant. Le petit Boet est le petit frère idéal pour sa grande sœur Asta (7 ans) et son grand frère Mauck (5 ans). Bien entendu, comme membre de la famille à part entière, petit frère les suit partout. Camilla n’a pas le permis, donc elle roule beaucoup à vélo. Et dans ce cas, un vélo cargo – en l’occurrence le Babboe Curve Mountain – est une aubaine. Lisez ses expériences en vélo cargo ici.
Tu connais cette sensation ? Ces papillons dans le ventre la veille de ton 6e anniversaire ? Et qu’en effet on te donne ce vélo de grand-mère rose ? Et bien, j’avais cette sensation lors de la livraison du Babboe Curve Mountain. Et ce, alors que j’étais aux anges lorsque nous nous sommes débarrassés de notre ancien vélo cargo, car nos deux enfants ayant leur propre vélo, on n’en avait vraiment plus besoin… Maar à présent, avec notre petit bout, je me suis promis de donner une deuxième chance au concept vélo cargo.
Ces papillons dans le ventre s’avèrent être un bon indicateur, car le vélo cargo a déjà fait pas mal de kilomètres. Les trajets à l’école, à la crèche, à la piscine, au supermarché, au fitness, pour aller chercher une glace, pour tester sa vitesse maximale ; je l’utilise pour tout (64 km en une semaine !). Maintenant qu’on apprenait de mieux en mieux à connaître notre nouvel ami, le moment était venu pour son grand baptême du feu ; à la plage. À travers les dunes. En vélo cargo. Un vélo cargo plein… Mais qu’est-ce qu’il a bien survécu à son initiation ! Avec Boet et son grand frère dans le vélo cargo, avec une tente pour bébé (qu’en fait on n’utilise jamais…), des brassards, serviettes, pelles, seaux, un ballon de rugby, des barquettes de concombre et de pomme, à boire et de la crème solaire, le trajet était juste fastoche. Et après avoir passé l’après-midi à jouer, nager (froid !), sauter en trampoline et prendre l’apéro, Boet s’endort dans son Maxi-Cosi sur le chemin du retour. Quelle super journée…
Une seule chose ; dorénavant c’est MOI qui roule en vélo cargo et pas mon mari, car me faire doubler par mon propre mari en vélo cargo, tandis que je roule avec ma fille à l’arrière, chantant à tue-tête, je ne veux pas revivre ça.